Callista resta de longues heures à attacher l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait tenace, silencieuse en tant qu' un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait crevé, et avec lui, la seule banalité qui guidait son être. Les moussaillons qui accostaient des temps anciens sur l’île savaient que son ivresse leur garantissait une protection attaché à les espoirs de l’océan. Certains, évident de dire en mer, consultaient une voyance par téléphone dans les ports, espérant une confirmation de ce que Callista leur prédirait ensuite. Mais aujourd’hui, elle ne pouvait leur proposer ni prédiction ni avertissement. Le silence l’avait condamnée à l’ignorance. Le vent soulevait à composition la surface de l’eau, formant des ondulations légères qui ne semblaient pas suivre les fréquents de la journée. Callista plissa les yeux et remarqua que l’écume formait des coloris contraires, tels que si la mer elle-même tentait de lui transporter un message marqué par une autre forme. Elle s’agenouilla, les doigts frôlant le support froide, espérant une indice. Mais rien ne vint. Elle repensa aux navigateurs qui, en quête de vérité, faisaient envoi de signal à une voyance téléphone pour leur accentuer la meilleure promenade future. Elle enviait ces jeune femme, qui pouvaient rajouter des explications en temps réel, même si celles-ci ne reposaient pas vivement sur la authenticité critères. Elle, en revanche, devait satisfaire l’absence, à cette devinette que même l’océan refusait d’expliquer. La lune se reflétait sur l’eau, projetant une lumière pâle qui transformait la mer en une étendue de métal fondu. Callista se redressa, arpatant du regard l’horizon désert. Elle connaissait les fictions qui entouraient son île, ce qui racontaient que les sirènes ne chantaient que pour ceux qui acceptaient de voir au-delà du microcosme physique. Mais pouvait-on encore prédire le destin à partir du moment ou même les voix de l’océan se refusaient à le démontrer ? Si la mer ne lui répondait plus, cependant devait-elle définir un autre moyen d’interpréter les petites étoiles. Certains disaient que les reflets sur l’eau pouvaient révéler ce que les sons taisaient. Une voyance par téléphone sérieuse devrait lui révéler une piste, mais ici, elle ne pouvait sentir que sur elle-même. Le silence n’était par contre pas un prévision de fin, mais un appel plus subtil. Callista ferma les yeux, concentrant son corps sur cette attention de son. Il lui fallait enregistrer origine l’océan lui retirait ses chants et ce que cela signifiait pour l’équilibre du macrocosme.
Les journées passaient, et Callista restait prisonnière du calme qui s’étendait sur l’île comme un voilage inapparent. Chaque soir, elle retournait au même promontoire rocheux, là où les chants des sirènes résonnaient autrefois, et tout soir, elle n’entendait que le distractions du ressac mitoyen de les falaises. Pourtant, elle savait que la mer ne mentait jamais. Son mutisme cachait une information que seule la patience pouvait révéler. Les corsaires qui traversaient ces eaux avaient des anciens temps premier ordre en ses forces. Certains d’entre eux pratiquaient message à une voyance par téléphone avant d’entamer leur voyage, cherchant à confirmer ou infirmer les prophéties qu’elle leur livrait. Mais à l'heure actuelle, elle n’avait plus rien à leur présenter. Le silence de l’océan ne lui laissait que des problématiques sans réponse. Callista décida de se modifier d’approche. Si elle ne pouvait plus pencher la mer, par contre pouvait-elle la lire. Elle descendit mesure se dorer sur la plage, là où les vagues déposaient de temps en temps des fragments d’algues et de la viande porteurs de signes. L’eau se retirait doucement, révélant une surface sablonneuse où de fines silhouette se dessinaient à savoir des lettres gravées par une majeur indiscernable. Elle observa longuement ces motifs, recherchant une force dans ces lignes éphémères. Elle repensa aux sages qui, loin des rivages, consultaient les comètes ou interprétaient des prophéties par d’autres instruments. Une voyance téléphone permettait d’obtenir des justifications immédiates, mais ici, elle n’avait d’autre résolutions que d’écouter avec ses yeux, d’attendre que la mer lui traite d’une goût confidence. Le vent soufflait par rafales voyance olivier irrégulières, et Callista remarqua que certaines vagues étaient plus puissantes que d’autres. Elle ferma les yeux et se concentra, recherchant à savourer ce que les sons ne pouvaient plus lui révéler. Un frisson parcourut son échine lorsqu’elle se rendit compte en dernier lieu : ce n’était pas le silence qui régnait, mais une forme d'art divers. La mer n’avait pas cessé de chanter, elle avait juste changé de voix. La réponse était là, dissimulée dans les évolutions de l’eau et le ballet astrales au-dessus d’elle. Il lui fallait apprendre cette indice forme de cartomancie, décoder les symboles laissés par l’univers lui-même. Peut-être qu’une voyance par téléphone sérieuse aurait du lui ordonner un démonstration sur cette transformation, mais elle savait que c’était à elle seule de proférer ce psyché avant que le calme ne devienne irréversible.
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